Ixiade : des idées au marché, le management des innovations

IXIADE en quelques mots



Créée en 2005 par Pascal Pizelle, ixiade a pour vocation d’accompagner les entreprises dans le management de leurs innovations, de la première idée jusqu’au lancement commercial. ixiade se positionne ainsi à la croisée des approches en combinant les apports technologiques du client, les dimensions humaines, le design et les aspects marchés pour prendre en compte toutes les dimensions de l’innovation centrée sur les utilisateurs. Pascal Pizelle a acquis lui-même une expérience pluridisciplinaire en occupant plusieurs fonctions d’encadrement dans le commerce, le marketing, la conduite de projets innovants et la stratégie de grandes entreprises. Attiré par les « sciences molles », il s’est également enrichi de compétences en sciences humaines et sociales et est devenu Coach certifié HEC.  D’où le choix de bâtir l’offre de services d’ixiade autour de métiers orientés « clients » et structurés en 4 pôles : ixiade pour le management de projets innovants, Ad Valor pour valoriser la méthode d’analyse des usages Cautic, Innosens pour le design des produits et des interfaces intelligentes et Tell’us pour le marketing de l’innovation. La mise en œuvre de méthodologies transversales, adaptées à chaque phase du processus d'innovation, s’adresse aussi bien à des entreprises matures qu’à des porteurs de projets de création de nouveaux produits ou services. ixiade compte actuellement 13 collaborateurs (CA 2010 : 850K€) et projette de s’inscrire dans une dynamique de croissance soutenue, suite à une prochaine levée de fonds destinée à financer les investissements nécessaires au déploiement de son offre de produits et services.

IXIADE et l'approche usages  sur Inéov

« Nous participons à Ineov en tant que professionnels experts de l’innovation et des usages, donc exactement la thématique choisie par Ineov portant sur les usages et le Green IT. Le lien est très fort entre les technologies de l’information et de la communication, et les démarches centrées sur les usages ; c’est un lien historique d’évidence car l’informatique transforme des actions ou des usages de la vie courante tantôt répétitives, tantôt fastidieuses, dès lors qu’elles peuvent être modélisées, transférées sur un outil numérique. Se pose ainsi dès l’origine la problématique de l’usage pour faire en sorte que ces actions soient possibles, avec le même but. Notre participation est presque naturelle dans la mesure où l’un des axes de développement d’Ixiade est de transférer ses savoir-faire sur des plates-formes de e-services collaboratives.

Durant Ineov, notre atelier aura 2 fils conducteurs : comme la relation entre business model et usage n’est pas évident, nous allons faire d’abord découvrir les ressorts de l’acceptabilité d’une innovation et nous aborderons la méthode Cautic, la manière dont elle exploite ces ressorts à travers une démarche structurée pour évaluer cette acceptabilité. Il s’agit donc de sensibiliser les participants à cette démarche.
Le deuxième temps portera sur les nouveaux business models, puisque les technologies de l’information permettent aujourd’hui d’inventer des nouveaux usages et de nouvelles formes de génération de revenus. »


(Pascal Pizelle, managing director d’ixiade)


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Minatec Ideas Lab : la sociologie de l'usage au coeur de l'innovation technologique

MINATEC IDEAS LAB en quelques mots



Plateau d’innovation multipartenariale, Minatec IDEAs Laboratory a été créé en 2001 par le CEA, France Telecom, STMicroelectronics et Hewlett Packard. Il a pour mission de concevoir les futures applications des nouvelles technologies en basant son efficacité sur l’association de designers, industriels, chercheurs en sciences humaines et sociales, mais aussi utilisateurs. L’approche technologique du CEA et de Minatec est ainsi croisée avec une expertise tenant compte de l’humain, des nouveaux usages et des attentes de la société en général.
Minatec IDEAs Laboratory occupe 800 m2 de locaux où sont basées à temps partiel 80 personnes aux profils scientifique, technologique et industriel. Initiant une douzaine de projets par an réalisés en collaboration avec ses partenaires industriels principaux Renault, EDF et Bouygues, le laboratoire héberge un show room présentant maquettes et concepts, ainsi qu’une smart room où ont lieu séances de créativité et tests d’usages.

Minatec Ideas Laboratory et l'approche usages  sur Inéov

« Je participe à Ineov en tant que sociologue, conseiller scientifique du CEA-Léti et de Minatec IDEAS Laboratory, car va s’y retrouver tout le champ des représentants des domaines du logiciel et des TIC sur lesquels j’ai beaucoup travaillé. C’est toujours dans l’idée de rapprocher les acteurs du hard et du soft, comme nous  voulons le mettre en place avec Grilog, afin de favoriser les contacts entre ces deux univers.

Je présenterai ainsi comment la sociologie de l’usage contribue à la dynamique de l’innovation en racontant la manière dont la question des usages a émergé, comment je suis arrivé à la méthode Cautic et comment elle se décline maintenant.
Je travaille en effet sur les usages depuis mon arrivée à la DGRST (Délégation générale de la recherche scientifique et technique) à la fin des années 1970. C’est d’ailleurs en 1978 qu’est sorti le rapport des deux polytechniciens, Simon Mora et Alain Minc,  sur « la télématique française » où ils pressentaient déjà que les évolutions technologiques amèneraient un rapprochement entre informatique et télécoms. Entré ensuite à l’INA (Institut national de l’audiovisuel), j’ai aidé au montage d’un programme audiovisuel avec déjà l’idée de la convergence technologique, puis jeté les bases de la sociologie de l’usage avec un rapport sur « Le magnétoscope ½ pouce de liberté » au moment de la sortie des magnétoscopes grand public. J’ai aussi développé des approches usages avec le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) pour imaginer les produits et services d’information des professionnels et les expériences domotiques. Vers 1996 j’ai monté la méthode Cautic, synthèse de tous ces acquis et des études d’usage que j’ai menées pendant 10 ans avec le service Prospectives de la Délégation générale des Télécoms devenue France Telecom.
Au fur et à mesure, j’ai identifié quatre concepts pour élaborer les significations d’usage : le savoir-faire, les pratiques, l’identité, l’environnement des utilisateurs dont il faut tenir compte pour comprendre comment l’innovation sera ou non intégrée.
Cette méthode a évolué et s’est enrichie d’une autre approche un peu plus en amont du process d’innovation, centrée sur les paradoxes des utilisateurs vivant finalement une ambivalence des usages que j’expliquerai également. »

(Philippe Mallein, sociologue grenoblois, Conseiller scientifique du CEA-Léti-Minatec - Ideas Laboratory)


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Interview SA et le cloud computing

Interview SA en quelques mots


Éditeur de la plate-forme logicielle EFM (Enterprise Feedback Management), Interview SA fournit aux entreprises et administrations une série d’outils destinés à faire remonter des informations quantitatives (Interview?!), mais aussi qualitatives (Openview?!), puis à les organiser et les structurer. L’entreprise propose également le portail web Dataview?! Il permet de publier les résultats de ces enquêtes pour les rendre facilement accessibles en interne afin de les intégrer dans les prises de décision. Créée en 2000, Interview SA compte 30 collaborateurs pour un chiffre d’affaires prévisionnel de 2,2M€ à fin septembre 2011. Son siège social et ses équipes de développement sont basées à la Tronche et elle dispose d’implantations à Paris, Montpellier, Milan et Stuttgart. Ses solutions ont été adoptées par environ 200 clients, dont de nombreuses grandes entreprises, dans près de 60 pays.

Interview SA et le cloud computing sur Inéov

« Ineov va nous permettre de discuter avec des personnes du même domaine, de connaître ce qui existe comme ressources dans la région, mais aussi de montrer ce que l’on fait individuellement et collectivement. On a tous des sites web, mais rien ne vaut cette possibilité de compléter cette information par du relationnel. Nous avons besoin d’animer ce réseau d’acteurs qui ont des ressources, des savoirs, des complémentarités d’autant plus que dans le logiciel, il faut être à l’écoute car il n’existe pas de vérité vraie qui dure longtemps ! Nous nous appuyons actuellement sur de nouvelles technologies, des outils qui nous engagent pour 10 ans. Le logiciel est donc une industrie qui nécessite une base technologique solide posant des problèmes de choix sur lesquels il est intéressant d’échanger, tout comme de découvrir de nouveaux usages qu’on n’aurait pas imaginé.

Je participerai à l’atelier sur le Cloud Computing : nouvelle technologie ou révolution des usages ? Le Cloud est à la fois une opportunité et un révélateur de faiblesses. Il pose le problème de proposer nos logiciels via le net, et non plus de les vendre et les installer chez nos clients. Nous devons donc être présents dans l’ensemble de la chaine, du développement à la production du logiciel, en passant par l’hébergement jusqu’à l’exploitation du service par le client. Notre obligation de résultat est devenue plus large car nous avons des compétences supplémentaires à mettre en place pour délivrer un service en ligne robuste, avec un accès permanent, de bonnes performances assurées de tous les postes utilisés. Nous devons aussi nous préoccuper des questions juridiques posées par la sauvegarde et le stockage des données de nos clients. Le modèle ayant totalement changé, il bouleverse donc notre fonctionnement, génère également de nouvelles contraintes financières, car les clients achètent désormais un service d’usage à la carte et non plus des fonctionnalités ».

(Alain Bouveret, cofondateur et président du directoire d’Interview SA)


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inopad ou les nouveaux usages du SaaS

Inopad en quelques mots


InoPad édite une plate-forme collaborative dédiée à l’accompagnement à distance, au diagnostic en ligne et au conseil professionnel.
Il s’agit aussi d’un outil de développement personnel et d’e-coaching, destiné à accélérer la performance des individus et des équipes.
InoPad est proposé en mode Saas (software as a service). Ses utilisateurs  sont aussi bien des groupes internationaux que des PME, des cabinets de conseil et des consultants indépendants. InoPad comptabilise à ce jour plus de 4700 utilisateurs uniques.
La puissance d’InoPad permet en outre d’utiliser cette plate-forme comme une base de méthodologie et de connaissances structurée en même temps qu’un tableau de bord pour la conduite des stratégies.

Inopad et les nouveaux usages du SaaS sur Inéov

"Aujourd’hui, de nouveaux usages se développent grâce à l’évolution technologique et en particulier la technologie Internet, qu’il s’agisse de prise de décision, de diagnostic ou encore de développement individuel et collectif. A travers notre participation à Inéov, nous voulons partager notre expérience de la création de ces nouveaux usages.
A la fois à la pointe de l’innovation technologique et ancré dans le développement durable, InoPad s’inscrit pleinement dans l’identité d’Inovallée. L’outil est en effet le fruit de nombreux développements en matière de technologies de la communication. Sa conception, sa réalisation et l’évolutivité de ses fonctionnalités mobilisent des acteurs locaux de la recherche.
De plus, Inopad est pleinement représentatif de la charte de développement durable signée par Inovallée. En facilitant la communication à distance, l’outil permet d’économiser les déplacements. L’utilisation de cette plate-forme, destinée à valoriser les richesses humaines de l’entreprise, replace l’homme au centre  de l’organisation. Enfin, Inopad est caractéristique de l’esprit « Green IT » d’Inovallée. La présentation de l’outil et de ses multiples usages à un public sensibilisé à ces valeurs veut servir d’illustration d’un secteur en pleine mutation, avec une approche logicielle nouvelle.


Nous allons présenter les avantages du business model Saas d’inopad dans ses multiples usages évolutifs : coaching en ligne, outil de communication à distance intégrant tous les modes interactifs, base de connaissances sécurisée destinée à valoriser le capital de l’entreprise, Il s’agit aussi pour nous de montrer qu’Inopad ne se substitue pas à l’humain mais optimise bien au contraire son action dans la durée. 
Nous présenterons en particulier un business case d’e-coaching dans le cadre d’accompagnement d’une équipe internationale". (Jean-Pierre Rénier, dirigeant d'Inopad).


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